mardi 17 novembre 2009

20 ans


Ce dessin, François me l'avait offert le jour de mes vingt ans.
Passés la colère, la tristesse, le déni, toute la panoplie du deuil comme c'est écrit dans les livres, vient le plus costaud car ça va durer, c'est le manque... je me remettrai sans doute à raconter des histoires quand le temps aura passé car pour le moment, je n'y arrive plus.

3 commentaires:

  1. Stephan, le plongeon... je le connais. Moi non plus je ne remonte pas... facilement. Accroche-toi, car pour lui (et moi pour elle) nous avons encore quelque chose à dire... à faire, à vivre, et puis si nous mourons (le coeur qui lâche, j'y ai pensé) et bien, nous les retrouverons. C'est tout.

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  3. Bonjour,

    Juste un mot sur le "Non, nous ne retrouverons personne".
    Nous ne savons pas. Ni vous, ni moi, comme tout ce qui nous entoure d'ailleurs. Et quand on s'attache un instant à toute la magie et l'absurdité de ce monde,
    Permettez alors que le doute soit permis.


    Toutes mes pensées positives pour surmonter l'absence.

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